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12/11/2024

Comme des feuilles mortes

Comme des feuilles mortes balayées par le vent 

On voit voler les pages du grand calendrier 

La tentation est grande de leur courir après 

Mais personne jamais n’a pu en rattraper 

C’est un rêve d’enfant on en a fait des contes

Revenir au printemps revoir passer ce temps

On revient à l’endroit et on rêve d’avant

On espère on se ment et la mémoire voit

Le passé au présent et le vent nous emporte

Comme les feuilles mortes 

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25/10/2024

De l’ombre et de l’or

Silencieux princes à pas feutrés venus
Vous lover en étreintes
Secrètes au crépuscule
Et étirer jusqu’au lever du jour
Vos élastiques et doux pelages de velours

Créatures fantasques au mystère magique
De vos regards comme des joyaux
Envoûtez l’humaine inconstance
Vous restez sages et doux,
Pleins de tendre candeur

Perles de jade ou d’or que la lumière étreint
Dans vos pupilles profondes je me plonge
Gentils et innocents bien que parfois cruels
Vous gardez un savoir caché comme un trésor
De force et d’harmonie sauvage
Qui luit et ne ment jamais

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16/10/2024

Quand tu étais là

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Quand tu étais là 

Je ne savais pas

Que je t’aimais tant

Je ne savais pas

Quand tu étais là 

Je ne voyais pas

Tous ces petits riens 

Qui faisaient ma joie

Quand tu étais là 

J’ignorais les heures

Je ne comptais pas

Le temps qui restait

À notre bonheur

Quand tu étais là 

Des nuages noirs

Parfois se glissaient

Entre toi et moi

Et on finissait

Par ne plus savoir

Qu’on s’aimait tellement 

On s’aimait tellement 

Mais tu n’es plus là 

Et je t’aime tant

Que parfois j’entends 

Tes pas et tavoix

30/09/2024

D’une rive à l’autre

RiveEntre une rive et l’autre
Un petit grain de sable
Parvient à traverser
Jusqu’à mon cœur ici

Est-ce que je l’ai rêvé
Pour adoucir ma peine
C’était comme un frisson
Un messager d’espoir
Tout petit mais si fort
Un mot qui a trouvé
Son chemin jusqu'à moi

Entre une rive et l’autre
Un petit grain de sable
Parvient à traverser
Jusqu’à mon cœur ici

Je ne peux pas le dire
Vous ne me croiriez pas
Préféreriez sourire
Vous détourner penser
Trop de douleur égare
Faisons semblant d’y croire
Mais moi enfin je sais

Qu’entre une rive et l’autre
Un petit grain de sable
Parvient à traverser

13/06/2017

Un jour ou l'autre

La porte est devenue une belle page blanche
Bouche cousue sur les lettres d'avant
Sa poignée tiède encore des mains de mes ancêtres
Est une ancre où mon coeur se suspend.
Les volets sont repeints et comme deux yeux bleus
candides et doux ils regardent passer.
L'espoir est là encore, les larmes ont pu sécher,
la douleur, un peu, s'est patinée de rides
Et les fleurs ressemées caressent les allées au jardin qui revit.
Il fait bon laisser se reposer les rêves et chanter les anciennes chansons
Le ciel nous regarde passer, brille, console
Le vent emporte les tourments

 

20/09/2016

Z

Z

Zane. Ouvre le chien.

J'ouvre le carnet à la dernière page. Là où il est temps d'écrire le mot fin. Lire l'histoire à l'envers. Tout a changé mais rien ne change. La fin n'est que le début d'une autre chose, un autre commencement, une autre gemme peut-être nait ce jour à ce monde.

Je le souhaite. J'ai eu les miennes. Qui m'ont appris à vivre, soutenue dans l'adversité et montré tous les chemins possibles. Ils sont passés avant moi par la porte. Et je n'ai pas peur de les suivre. Les retrouver. Me fondre. Disparaître. M'éclipser.

Que leurs atomes éparpillés accueillent ma poussière avec bienveillance. Amour. Joie. Bonté.

 

 

04/03/2014

Je reviens...

Elle est triste ma maison, on dirait la belle au bois dormant...qui attend son prince et le baiser qui la réveillera... Elle est grise et sale, fissurée et froide, il n'y a plus de fleurs ni d'arbres ni d'oiseaux, il n'y a que la terre et ce puits où l'eau sombre rêve aux échos des voix éteintes. Ses volets abîmés par les ans sont fermés et les lambeaux de moustiquaires arrachés aux fenêtres disjointes rouillent dans un coin. La chambre où je rêvais n'est plus que dans mes rêves, j'en ai oublié la couleur. Un espoir de chaleur réchauffe la cuisine qui est devenue un salon, une cheminée y a poussé. Et au fond du jardin il y a quatre cages comme quatre gueules de molosses affamés. Plus de cigales, envolée la musique, plus de vert tendre sur les murs décrépits, juste une porte brune qui espère ma main.

06/04/2013

La poussiere

Et la poussière des années s'éparpille dans la lumière
Il y pleut des larmes séchées par le vent des rêves oubliés
Leur adieu est une caresse et la trace qu'elle laisse semble sale au soleil
Lorsqu'elle est posée, immobile.
Mieux lui sied l'ombre du soir pour tisser son linceul de velours anthracite et de satin d'ébène. Les pas de la Mort sur le pavé glissant.
Mais les aurores y font danser mille feux d'arc en ciel et soudain
C'est une autre journée qui revient, insouciante...

08/06/2012

J'en peux plus, faut que je m'arrête

Maman, ma petite Maman petite souris, tu t'es arrêtée ce samedi 26 mai 2012, lendemain de ton anniversaire.
Dans ta main pour toujours il y a mes cheveux que j'ai coupes pour pouvoir rester près de toi, te suivre ou que tu sois, ou que tu ailles, quoi que tu deviennes.
Ton amour inconditionnel m'accompagne, je sens le vide autour de moi mais dans ce vide il y a toi.
Et moi je t'aime.

14:33 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

19/04/2011

Ç'est pas moi qui l'ai dit...

C'est Jean Cocteau : "Ce que l’on te reproche, cultive-le, c’est toi."

 

—C'est bien la peine de revenir pour dire ça...

—Ben oui, je crois.

29/09/2009

Emprunté à Charles Dickens

— Nous sommes amis......

— Et nous resterons amis une fois séparés.....

02/09/2009

feuille morte

 

Enfin parfaitement dénuée de vains espoirs. Inutiles prétentions.

Renonçant à la satisfaction de mes désirs.

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J'ai repris des forces...

"La merveille est dans l'instant"



 

08/06/2009

Quoi de nouveau ?

Pendant que je me laisse gentiment oublier, Wild wind et tornade bichonnent leurs cruautés d'indifférence et d'un dragon terrassé font une simple grenouille... J'aurais tant aimé n'être pas tant azimutée mais c'est comme ça que m'ont fait la vie, les faits et les fées... 

Où est passé l'enchantement et comment retrouver le parfum des moments qui s'étirent lents... épatants, patents, latents, j'attends, j'attends, j'attends tout le temps...


Ma grand-mère était pas méchante, (si, elle l'était) simplement elle était égoÏste, d'un égoïsme ravissant, de celui qui fait que les autres et tout ce qu'ils peuvent bien penser de vous vous passe au-dessus de la tête et ne vous empêche pas d'agir à votre guise, une locomotive la salope, quelle force de caractère...

Agir à sa guise... Ah ce que j'aimerais, moi qui toujours pense d'abord à l'autre, aux autres, Ah ! les Zôtres ! Ah ! leurs désirs, leurs sentiments, et tcetera tcetera...

Quelle conne ! Marre des autres. Est-ce qu'il ont de ces attentions pour moi eux hein ? Que dalle, à eux d'abord et le reste s'il en reste...   Word on a wing...

13/02/2009

Je t'haine


Le deuxième volet est sorti !

 LAURENT DARRIEUX-JE T'HAINE-ÉDITIONS ÉDILIVRE APARIS

Ça vaut le détour !

17/01/2009

Laurent Darrieux-Les sentiments alternatifs

couverture - copie.jpgJe piaffais d'impatience de le faire, c'est donc avec un plaisir non dissimulé que j'ai enfin feu vert et carte blanche pour vous annoncer la parution du livre de laurent Darrieux : Les sentiments alternatifs.

Un écrivant, définition : c'est un écrivain vivant et un être humain qui écrit, qui nourrit ses écrits de sa vie et sa vie de ses écrits, en fait sa propre alchimie.

Un écrivant, ce mot n'est pas encore dans le dictionnaire mais c'est imminent, j'ai mes sources, et c'est donc à ce titre que j'ai le privilège de vous faire part de l'arrivée en trombe d'un précurseur véritable ici incontestablement inspiré dans l'art de manier les mots, ce qu'il fait à sa façon directe et efficace, parfois crue, sans superflu mais aussi sensible, sincère, drôle, passionnée, troublante et lyrique tour à tour. 

Un mélange complexe, une alchimie, comme dans la vie... Ce mec est magique...

Sa prose ne se lit pas, elle se dévore, elle vous prend gentiment par la main ou violemment aux tripes, c'est un élan, un souffle, un cri, une claque à la maussaderie ambiante, un éclat de rire, une caresse... 

Dans ses pages, chacun de nous peut se retrouver un peu et peut-être en ressortir plus vivant.

Oulla, je me laisse emporter et je voudrais pas trop flatter l'égo du monsieur qui est déjà suffisamment développé, (c'est là son moindre défaut...) mais lisez et faites-vous vous-même votre opinion.

Laurent Darrieux. Les sentiments alternatifs.

11/01/2009

le courage de rêver

Intéressant ! Le nouveau blog d'anne Archet.

l’imagination-ou-la-mort

 

Ah et puis oui, j'ai très envie de citer ici Charles Baudelaire, cet homme lucide : 

« Le beau est fait d'un élément éternel, invariable, (...) et d'un élément relatif, circonstanciel, qui sera, si l'on veut, tour à tour ou tout ensemble, l'époque, la mode, la morale, la passion. Sans ce second élément, qui est comme l'enveloppe amusante, titillante, apéritive, du gâteau, le premier élément serait indigestible, inappréciable, non adapté et non approprié à la nature humaine » .


Beaudelaire, l'Art Romantique.

23:19 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : rêve, imagine, imaginons, imaginez

07/01/2009

Et oui, quand même, une bonne année... détendu


25/12/2008

Noël noël.....

 

Petit Papa Noël,

Tu sais que cette année, j'ai pas été très sage,

mais j'ai tout fait pour rendre les gens heureux autour de moi, 

tout ce qui était en mon pouvoir je crois

et même aussi un peu de ce qui ne l'était pas.


Cette année fut remplie de mes rêves illusoires

si fragiles qu'ils se sont envolés comme des papillons

car comme des papillons ils étaient si légers...

et leur départ m'a seulement laissé le coeur plus grave.


Cette année, j'ai bien cru que tu allais passer pour m'apporter le plus joli cadeau

que j'eusse jamais osé espérer

mais, mais, mais....

mais je n'ai plus six ans depuis tellement d'années

je voudrais l'oublier,

marcher les yeux fermés sur les pierres volantes

de mon jardin secret...


ici je me retire, je m'habille du sang des fleurs, de sons ivoire 

et des parfums brûlés sur ma peau scarifiée d'invisibles caresses imaginées.

La vie doit être rêvée sinon ce n'est même pas la peine...

La vie est une longue histoire qu'on doit se raconter soi-même...

alors je vais continuer, m'inventer des histoires... rêver

les choses vont changer, hein dis,

petit Papa Noël...

17/12/2008

Joyeuses fêtes

Fêtes

conventions

poussière

froid

politesse

hypocrisie

souhaits

guirlandes

hiver

clinquant

désert

glacé

neige

se retirer

dormir

terrier

hiberner

miel

cheminée

feu

magie

bougies

un verre de vin

un bon bouquin

un rêve encore à caresser.

15/12/2008

Censure...

Ne rien demander, rien,

juste exister...

14/12/2008

Sous la nuit

Embruns et vent glacial

jouent à poser du givre

scintillant sous la nuit...

13/12/2008

Dans le dos des miroirs est en vente sur...

Dans le dos des miroirs est en vente sur...

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ainsi que #mce_temp_url#

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Vous l'avez lu ? Ou lu juste un extrait ? N'hésitez pas pour les commentaires !!!

 

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12/12/2008

Douceur

De la mousse sous tes pas,

de la douceur dans ton regard,

la lune est pleine.

07/12/2008

Rêve

... Et puis soudain,

ton poids sur moi...

rien d'autre...

04/12/2008

Obsessions

 

L'amour... sentiment, émotion, frisson, chaud, glacé, joues en feu, gorge serrée, trembler

sous toutes ses formes des plus aux moins domptées

la beauté... obsédée non par la beauté physique évidente mais par l'autre, l'aura... Je m'accomode facilement de nombre de défauts physiques si l'âme a cette chose indéfinissable qui me mets à sa merci

m'enivrer de l'odeur du corps aimé à m'y rouler

le plaisir

la gentillesse

une attention, un rien

les beaux moments rares à ne pas oublier

la douceur dans un regard

la surprise de voir qu'on pense à vous c'est fou

une rencontre 

dans la démesure

une nuit étrange, suspendue

la fidélité des sentiments

par-delà tous les désaccords

savoir qu'on ne peut pas lire mes pensées

s'accorder le bénéfice du doute

m'asseoir et ignorer l'heure de ma mort

un peu trop sauvage rester

refuser de me laisser dresser

faire péter parfois la musique trop fort à des heures indues, les voisins râlent, détester les voisins

me protéger, j'aime toujours trop fort aussi, je sais, je sais

mais là pas de voisins

me détacher un peu pour respirer, pas me laisser briser

laisser le vent voler, la liberté, rêver

les mots, la musique, la beauté m'emporter

une voix pour assourdir ma peur

endormir ma douleur

telles sont mes obsessions, mes illusions et mes chimères...

 

03/12/2008

Inconforme !

Inconforme, c'est ce que je suis.

Encore plus atypique et décalée de jour en jour et me complaisant dans une marginalité qui me ramène au plus près de la solitude et de l'étrange. C'est ce que mon miroir me renvoie dans vos yeux, ça doit être vrai here and now, la vérité de l'instant. Non ?

Oui et alors ? Et vous ? Vous êtes bien au chaud dans votre vie ? Bien entourés ? Je ne vous dérange pas au moins  ? Si un peu ? Beaucoup ? Pas du tout ?

Arrrh pardon je sais je sais on entend plus la télé

c'est comme quand j'écris sur le papier

les mots parfois, souvent dépassent ma pensée

même si c'est du fond du coeur

pour vous c'est de l'ailleurs

mais c'est l'unique endroit où il n'y a

pas de frontières et pas de murs

où les erreurs

ne comptent pas comme péché mortel

c'est comme ça, la vie nous a été jetée

comme j'écris du clavier

ce coup de gueule, coup de blues,

ces satanées idées, sans plus trop y penser.

Je suis un grand château hanté

délabré, un château de cartes

écroulé avec des oubliettes pour oublier.

L'as de coeur, où il est passé ?

 

12/11/2008

Corps à corps

J'ai fait un café

j'en avais pas vraiment envie

j'ai pris un wisky

ça m'a donné goût à la vie

je me suis couchée

et j'ai commencé à rêver

dans mon oreiller

j'ai caché mes sanglots mouillés

je me suis lâchée

et j'ai enroulé dans les draps

ton image dressée

pour mon plaisir et sous mes doigts

j'ai laissé gronder

mon désir étourdi de toi

ça m'a arraché 

des soupirs et des cris de joie

et mon corps privé

de tout état d'âme ou remords

m'a transporté là

où j'imagine que tu dors

je me suis laissée

emporter dans un corps à corps

où j'ai déchaîné 

ma peau nue à frotter si fort

j'ai vogué, déchiré 

la réalité qui s'endort

j'ai rêvé de ton corps si fort

que les marques me brûlent encore...

  

25/10/2008

Petit poème absurde

fragile flash hagard

esclave de ses sentiments étouffants un peu à l'ouest

la colère part en fumée dans un hurlement froid

la bibliothèque lancinante de l'esprit

danse en rond et roule vers la nuit

et c'est quoi ce moulin là qui court devant moi ?

 

20:15 Publié dans Écrire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : écriture, poèmes, poésie

18/09/2008

Quoi ? Un poème....

Question : Quoi de plus anti commercial qu'écrire des nouvelles de nos jours ?

Réponse : Écrire des poèmes !

Hélas , je ne peux m"empêcher de commettre ce crime de lèse modernité... Alors, en avant première, un extrait de mon prochain recueil de poèmes, oui, vous avez bien lu... un poème. Avant le roman, avant toute chose, parce que c'est vous, parce que c'est moi et bla bla bla, quelques rimes, voilà.

 

 

Ce sera la fin de l'automne

quand j'entendrai tes pas

et tes lèvres brûlantes s'approcher pour tout bas

prononcer et lisser mon nom comme un galet

et tes mains se glisser

sous le lourd pull de laine

pour découvrir ma peau

fiévreuse et rappeler

à ma chair endormie

qu'elle existe et qu'elle vit

lumineuse et sacrée

je l'avais oublié ou presque mais c'est vrai.


Je m'éveille, la chaleur m'envahit,

mes joues sont-elles toutes rouges ?

mes jambes soudain coton voudraient se dérober

et si là dans tes bras tu ne me retenais

mon coeur ivre de joie risquerait de voler,

de s'enfuir à jamais comme un oiseau sauvage

sur cet éclat de rire posé sur ton visage.


Je suis déjà là-haut

l'air vif est parfumé

par les feuilles tombées

et les brumes du soir

couleur d'ambre et de sable

rougis par le couchant.

Je t'attends, je t'attends

là où mes pensées folles prennent feu dans le vent

je t'attends, je t'attends ! Allez qu'est-ce que t'attends ?

10/09/2008

Question du jour

Question de toujours : POURQUOI ?

Toujours d'actualité, cette simple question existentielle... Question de gosse, la question la plus énervante du monde.

Pourquoi le ciel est bleu ? 

Pourquoi la chlorophylle rend-elle les feuilles vertes et pas roses ?

Pourquoi le feu nous brûle-t-il les doigts ?

Pourquoi il y a ce clavier devant moi ?

Pourquoi écrire ces mots que quelques-uns liront et oublieront ?

Pourquoi la vie ?

20:52 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1)